Thèse soutenue

Tamis lyrique

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Auteur / Autrice : Claire Tenu
Direction : Pierre Alféri
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Arts visuels
Date : Soutenance le 17/11/2016
Etablissement(s) : Paris Sciences et Lettres (ComUE)
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Lettres, Arts, Sciences humaines et sociales (Paris ; 2010-....)
Partenaire(s) de recherche : établissement de préparation de la thèse : École Nationale Supérieure des Beaux-Arts (Paris) - École normale supérieure (Paris ; 1985-....)
Laboratoire : Équipe d'accueil SACRe - Sciences, arts, création, recherche (Paris)
Jury : Examinateurs / Examinatrices : Pierre Alféri, Catherine Perret, Éric de Chassey, Anne Parian, Jean-Claude Monod, Jean-François Chevrier, Dominique Figarella
Rapporteurs / Rapporteuses : Catherine Perret, Éric de Chassey

Mots clés

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Mots clés contrôlés

Résumé

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« Lyrisme : jeu qui lie et délie les noms et les corps – tous les noms et tous les corps. Son terrain est celui de la vie et de la mort entrelacées, un festin offrant formes, déformations, transformations. Sa matière est l’air, souvent irrespirable, son milieu est l’image, parfois invisible, sa réalité est la voix, presque inaudible. » L’exposition Tamis Lyrique, préparée et prolongée par l’ouvrage éponyme, présente un ensemble d’œuvres déployant une pratique lyrique et spéculative de la photographie, au croisement de diverses formes et disciplines : composition et montage, caractérisation topographique et récit filmique, écriture et installation. Certaines œuvres sont extraites des travaux récents accomplis au cours de l’élaboration de la thèse (photographies de Cherbourg, et le livre La ville que nous voyons ; L’air de l’accordéon, film co-réalisé avec Fanny Béguery en Corrèze). Dix pièces diverses parleurs sujets et leurs formes (vues photographiques, assemblages, objets, séquence de film) sont inédites. Quelques œuvres, plus anciennes, complètent cet ensemble, faisant l’objet de développements écrits particuliers dans le livre Tamis lyrique et permettant de repérer des variations ou d’apprécier une épaisseur temporelle des processus qui structurent le travail.