Thèse soutenue

Persistances et récurrences de l’histoire de l’art dans l’art contemporain à partir des oeuvres d’Hubert Duprat

FR  |  
EN
Auteur / Autrice : Luciane Ruschel Nascimento Garcez
Direction : Sylvie Coëllier
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Arts plastiques et sciences de l'art
Date : Soutenance le 02/12/2016
Etablissement(s) : Aix-Marseille
Ecole(s) doctorale(s) : Ecole doctorale Langues, Lettres et Arts (Aix-en-Provence ; 2000-....)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Laboratoire d'études en sciences des arts (Aix-en-Provence, Bouches-du-Rhône)
Jury : Président / Présidente : François Soulages
Examinateurs / Examinatrices : Sandra Ramalho e Oliveira Udesc
Rapporteurs / Rapporteuses : Pierre Baumann

Résumé

FR  |  
EN  |  
PT

Le texte est une étude de la récurrence et de la persistance de l’histoire – artistique, culturelle, technique – dans l’art contemporain à partir du corpus d’œuvres de l’artiste français Hubert Duprat. La recherche a été divisée en quatre parties : Les Mobiliers, Les Immobiliers, Dialogues contemporains, Et l’archive devient œuvre. Dans les deux premières parties, Les Mobiliers et Les Immobiliers, j’ai traité des réalisations d’Hubert Duprat en analysant les survivances de la forme, de l’histoire, de l’utilisation de la matière, des techniques, toutes survivances perçues comme puissance de l’œuvre. Dans la partie 3, Dialogues Contemporains, j’ai abordé plusieurs artistes contemporains brésiliens, dont les œuvres offrent des liaisons, des dialogues, ouvrent des références communes à l’œuvre de Duprat. Je souhaite faire un pont entre les deux pays, la France et le Brésil et leurs productions artistiques, sans jamais perdre la motivation de l’étude : chercher des récurrences de l’histoire dans le contemporain. La partie 4, Et l’archive devient l’œuvre, est une analyse d’un travail de Duprat, très cher à l’artiste, qui n’entrait pas dans les catégories que j’avais dressées : mobiliers ou immobiliers, car il participait des deux. Cette réalisation demeure autre chose qu’une œuvre d’art, c’est une articulation essentielle de la pensée et des procédures de l’artiste en dialogue avec son corpus poétique. Ce travail devait figurer dans cette étude, tel un dessert, une réalisation qui complète l’ensemble, mais n’appartient pas en tant qu’œuvre matérielle au corpus principal.