Auteur / Autrice : | Dalel Azzazene |
Direction : | Massoud Mirshahi |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Biochimie, Biologie Cellulaire et Moléculaire |
Date : | Soutenance le 06/12/2012 |
Etablissement(s) : | Paris 11 |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole doctorale Cancérologie : Biologie, Médecine, Santé (2000-2015 ; Le Kremlin-Bicêtre, Val-de-Marne) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Centre de recherche des Cordeliers (Paris ; 2007-....) |
Jury : | Président / Présidente : Eric Pujade-Lauraine |
Examinateurs / Examinatrices : Massoud Mirshahi, Eric Pujade-Lauraine, Mary Poupot, Marc Pocard, Claude Boucheix, Mohamed Hatmi | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Mary Poupot, Marc Pocard |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Le cancer de l’ovaire, avec plus de 15.000 décès prévus en 2012, est le cancer gynécologique le plus meurtrier. Alors qu'environ 80% des patientes qui répondent à une chimiothérapie de première ligne, plus de 60% des patientes vont récidiver et seulement 44% seront encore en vie après 5 ans. Le rôle majeur du micro-environnement dans les processus de la carcinogénèse et la progression tumorale a été démontré par de nombreux travaux. Ce concept original de l’initiation et de la progression tumorale fait appel à des approches conceptuelles et expérimentales très diverses. Dans cette étude, nous avons pu démontrer le rôle important de la molécule de tolérance HLA-G (Human Leukocyte Antigene-G), ainsi que son expression et sa régulation par les cellules cancéreuses et les cellules du micro-environnement tumoral. Nous avons étudié les différents facteurs impliqués dans les mécanismes d’échappement tumoral et vérifié in vivo certains protocoles de chimiothérapie à base de médicaments immunomodulateurs.