Auteur / Autrice : | Yassir Elmidaoui |
Direction : | Arnaud de Raulin |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Droit public |
Date : | Soutenance le 12/07/2012 |
Etablissement(s) : | Artois |
Ecole(s) doctorale(s) : | ED Sciences juridiques, politiques et de gestion (n°74) |
Jury : | Président / Présidente : Eloi Diarra |
Examinateurs / Examinatrices : Arnaud de Raulin, Eloi Diarra, Mohamed Boussetta, Bonyi Mukadi | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Mohamed Boussetta, Bonyi Mukadi |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Lors du sommet extraordinaire qui s’est déroulé à Barcelone en novembre 1995, vingt-cinq pays de l’Union Européenne et douze pays méditerranéens ont décidé de lancer un partenariat global euro-méditerranéen, l’idée des partenaires étant d’arriver à tourner une page de rupture qui a marqué les relations entre les deux rives pendant plusieurs années. En effet, ce pont, érigé sur une mer où, de part et d’autre, on assiste à un nombre croissant de tensions et de conflits, a constitué l’unique enceinte de dialogue et d’échanges entre les États du bassin méditerranéen. Malgré la domination des Européens en matière de décisions, ce choix demeure inéluctable pour le bon voisinage dans la région.Toute fois, sans un réel engagement de la part des deux partenaires méditerranéens, notamment la forte implication de l’Union Européenne pour construire un véritable projet d’intégration régionale, le processus euro-méditerranéen risque de se trouver dans la corbeille de l’histoire humaine.