Auteur / Autrice : | Manale Karam |
Direction : | Jean-Marc Ricort |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Cancérologie, Médecine, Santé |
Date : | Soutenance le 20/12/2011 |
Etablissement(s) : | Paris 11 |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole doctorale Cancérologie : Biologie, Médecine, Santé (2000-2015 ; Le Kremlin-Bicêtre, Val-de-Marne) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire de biologie et pharmacologie appliquée (Gif-sur-Yvette, Essonne ; 2002-....) |
Jury : | Président / Présidente : Christian Auclair |
Examinateurs / Examinatrices : Jean-Marc Ricort, Christian Auclair, Patrice Dubreuil, Christian Gespach, Sylvie Babajko, Eric Raymond | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Patrice Dubreuil, Christian Gespach |
Mots clés
Résumé
La protéine kinase D1, PKD1, est une nouvelle sérine/thréonine kinase activée par de nombreux mitogènes et dérégulée dans de nombreux types de cancers dont le cancer du sein, ce qui suggère un rôle de cette kinase dans la prolifération cellulaire et la tumorigenèse. Cependant, le rôle précis et les cibles de PKD1 ne sont pas encore bien connus. Au cours de ce travail, nous avons tout d’abord démontré que PKD1 est activée par les facteurs de croissance épidermique (EGF) et fibroblastique (FGF) et qu’elle régule la voie de signalisation de l’insulin-like Growth Factor-I (IGF-I). D’autre part, nos résultats démontrent que PKD1 favorise les propriétés pro-prolifératives et pro-tumorales des cellules MCF-7 dérivées d’un adénocarcinome mammaire humain estrogéno-dépendant. Ces mécanismes mettent en jeu des voies de signalisation dépendantes de protéines kinases (la voie MEK/ERK) et hormonales (la voie estrogène/REα). Ainsi, l’ensemble de ce travail fait apparaître PKD1 comme une nouvelle cible thérapeutique anti-tumorale potentielle.