Desperate Housewives, miroir tendu au(x) féminisme(s) américain(s) ?
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Auteur / Autrice : | Virginie Marcucci |
Direction : | Georges-Claude Guilbert |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Anglais. Civilisation américaine |
Date : | Soutenance le 27/11/2010 |
Etablissement(s) : | Tours |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences de l'homme et de la société (Tours ; 1996-2018) |
Partenaire(s) de recherche : | Equipe de recherche : Groupe de recherches anglo-américaines (Tours) |
Jury : | Président / Présidente : Divina Frau-Meigs |
Examinateurs / Examinatrices : Monica Michlin | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Claudette Fillard, Donna Andréolle |
Mots clés
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Résumé
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Ce travail s’attache à étudier les éventuels féminismes de Desperate Housewives. La peinture que la série propose de femmes et mères au foyer américaines désespérées est a priori le lieu d’une dénonciation de leur vie et de leur condition qui n’est pas sans rappeler celle de Betty Friedan dans The Feminine Mystique au début des années soixante. De plus, de nombreuses contradictions du féminisme américain (en fait constitué de nombreuses sous-catégories et sensibilités) y trouvent un écho. Cette multiplicité des interprétations possibles de Desperate Housewives, ainsi que sa composante postmoderne et camp, en font le lieu privilégié d’un féminisme queer propre à la série.