Auteur / Autrice : | Julien Fernandes |
Direction : | Franck Carreiras |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Biologie cellulaire |
Date : | Soutenance en 2010 |
Etablissement(s) : | Cergy-Pontoise |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences et ingénierie (Cergy-Pontoise, Val d'Oise) |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Les adénocarcinomes ovariens dérivent de la transformation maligne de l’épithélium ovarien de surface, et se développent et se propagent au sein de différents microenvironnements. Les cellules transformées peuvent s’exfolier à partir de la surface de l’ovaire et former des agrégats multicellulaires appelés «sphéroïdes». Leur dissémination implique l’interaction « physique » des cellules cancéreuses ovariennes entre elles, leur permettant de survivre «en suspension» au sein de l’ascite, mais également, l’interaction des cellules avec un microenvironnement matriciel lors de leur réimplantation sur le tissu sain. Le travail de thèse contribue à une meilleure compréhension des mécanismes moléculaires impliqués lors des interactions au sein d’agrégats multicellulaires tumoraux ainsi que lors de leur implantation. Le rôle du système adhésif composé de la vitronectine et de son récepteur, les intégrines αv, ainsi que celui de la fibronectine ont plus particulièrement été appréhendé.