Une approche relationnelle de la genèse organisationnelle dans les entreprises de la « nouvelle économie » : Le cas des start-up françaises de biotechnologie
Auteur / Autrice : | Georges Nseké Missé |
Direction : | Jean-François Chanlat |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de gestion |
Date : | Soutenance en 2008 |
Etablissement(s) : | Paris 9 |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Un nouveau mode de production se met en place à partir des avancées des sciences de la vie, de concert avec l’émergence et la concrétisation de nouvelles formes organisationnelles et partenariales basées sur l’évolution des liens entre le monde académique, l’industrie, et la finance. Ce changement est l’œuvre de la R&D, aux politiques publiques et aux activités de transfert de technologies (laboratoires universitaires vers la création de structures privées). Dès lors, au moment où les visions long terme sont difficiles à établir pour bon nombre d’organisations, la question de leur pérennité devient centrale pour les Sciences de Gestion. Le choix de notre recherche a privilégié les études portant sur les ressorts de la pérennité organisationnelle à partir d’une méthodologie qualitative. En effet, la dynamique culturelle des acteurs a servi de vecteur à la compréhension de la dynamique d’évolution de ces firmes à partir d’une méthode inductive et longitudinale sur trois années d’études. Les résultats obtenus ont permis d’expliquer la cohérence conceptuelle entre la dynamique à l’origine de la proactivité constatée au travers des activités de « reliance » culturelle et organisationnelle et la survie des entreprises de notre échantillon