Auteur / Autrice : | Jean-René Garcia |
Direction : | Jean-Michel Blanquer |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Droit public |
Date : | Soutenance en 2006 |
Etablissement(s) : | Paris 3 |
Partenaire(s) de recherche : | autre partenaire : Institut des Hautes Études de l'Amérique latine (Université Paris III) |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Nous avons tenté dans cette thèse de revenir aux origines théoriques du pouvoir exécutif et à partir de l’étude du cas bolivien, d’analyser comment le constitutionnalisme moderne essaya de concilier les notions de “force” et de “légitimité” par l’élaboration d’un consensus sur le pouvoir exécutif ambivalent réalisé lors de Temps Historiques Constitutionnels (THC). En Bolivie, le consensus sur le pouvoir exécutif ambivalent, c'est-à-dire sur un pouvoir dont la compétence déborde celle d’appliquer strictement la loi, a permis d’assurer la structuration du système politique lors de Temps Historiques Constitutionnels. Ainsi, la Bolivie constitue un terrain d’analyse qui permet de construire une doctrine moderne sur le pouvoir exécutif ambivalent en Amérique latine.