Thèse de doctorat en Chimie inorganique
Sous la direction de Roger Lamartine.
Soutenue en 2006
à Lyon 1 .
Les nanoparticules d'or représentent des plates-formes idéales pour l'immobilisation et le transport d'un nombre élevé de molécules organiques. Cette propriété revêt des applications potentielles en microscopie par fluorescence et en imagerie par résonance magnétique dans l'abaissement du seuil de détection. Une étude a donc été menée sur ce sujet aboutissant à la synthèse de nanoparticules d'or (8-12 nm), porteuses de plusieurs centaines de fluorophores. Une étude menée sur des puces ADN a ainsi démontré que ces nouvelles sondes luminescentes nanométriques possèdent un réel potentiel permettant d'abaisser le seuil de détection de deux ordres de grandeurs. Parallèlement, la synthèse de nanoparticules d'or (2-2,5 nm) recouvertes d'une multicouche d'un dérivé dithiolé (DTDTPA), particulièrement stables en solution ont permis la complexation d'ions gadolinium. L'étude IRM pratiquée sur ces nanoparticules révèle en effet une augmentation significative du contraste par rapport au DTPA:Gd
Pas de résumé disponible.
Cette thèse a donné lieu à une publication en 2007 par [CCSD] à Villeurbanne
Élaboration de nanoparticules d'or fonctionnalisées pour la détection et l'imagerie biologiques