Thèse de doctorat en Sciences économiques
Sous la direction de Victor Ginsburgh et de Xavier Greffe.
Soutenue en 2005
à Paris 1 en cotutelle avec l'Université libre de Bruxelles .
Ce travail se compose de trois parties indépendantes, qui cependant présentent des points communs, surtout les deux premières. Celles-ci sont consacrées à l'analyse théorique et empirique de la qualité dans le marché de l'art et, en particulier, à l'un de ses aspects : l'originalité. La troisième partie concerne le problème de la création de la qualité artistique en amont du marché, et plus précisément de l'éducation artistique (musicale), et l'influence du type de financement (public ou mixte) sur sa demande. L'analyse de la qualité artistique et plus généralement de la valeur culturelle a déjà fait l'objet de plusieurs contributions en économie, entre autres celles de Greffe (1999) et de Throsby (2001) qui posent avant tout la question de le définition de la qualité à travers ses diverses composantes. Cette approche nous a paru convenir particulièrement aux objectifs de notre thèse, qui se propose d'isoler l'effet de l'originalité sur le fonctionnement des marchés artistiques et sur la formation des prix des œuvres d'art.
Essays in cultural economics
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