Thèse de doctorat en Archéologie. Préhistoire. Ethnologie. Anthropologie
Sous la direction de Henri-Paul Francfort et de Marion Lichardus-Itten.
Soutenue en 2004
à Paris 1 .
Les cultures Andronovo (âge du Bronze) et Saka (âge du Fer) se sont développées entre le IIe et le Ier millénaire avant J. -C. Sur un vaste territoire de l'Asie centrale comprenant l'actuelle république du Kazakhstan. Le travail qu'il nous est proposé de présenter ici, traite des différentes pratiques funéraires dans leurs singularités et complexités. Avec l'ouverture du bloc socialiste, nous avons pu avoir accès à une masse documentaire archéologique d'archives. Notre analyse a permis de réévaluer l'ensemble avec des nouvelles propositions sur les pratiques funéraires. En outre, le travail sur un matériel anthropologique inédit et la reprise des recherches anciennes nous ont conduit à approfondir les connaissances sur les caractéristiques biologiques de ces populations. En confrontant les idées des données publiées avec celles restées inédites et en remplaçant l'étude ostéologique dans son contexte funéraire, nous discutons les différentes théories dans une perspective de recherche globale et dans une problématique archéo-anthropologique actuelle.
Archaeology of death, cementaries, funerary practices and biological anthropology of Andronovo and Saka populations in bronze and iron age Kazakhstan : 2nd and 1st millennia B.C.
Pas de résumé disponible.
Cette thèse a donné lieu à une publication en 2007 par De Boccard à Paris
De l'âge du bronze à l'âge du fer au Kazakhstan : gestes funéraires et paramètres biologiques : identités culturelles des populations Andronovo et Saka