Thèse de doctorat en Physique
Sous la direction de Joël Schamps.
Soutenue en 1995
à Lille 1 .
La théorie du champ de ligand (LFT) a été reformulée pour inclure l'extension spatiale du ligand (distribution de charge continue) et les effets de polarisation. Nous avons aussi proposé une formulation complètement relativiste de la LFT qui calcule les effets spin-orbite d'une façon non perturbative. La théorie a été appliquée aux monohalogénures des alcalino-terreux ainsi qu'à l'isocyanure et l'hydrosulfure de calcium (canc et cash). Les énergies de transition et les constantes spin-orbite calculées sont en très bon accord avec l'expérience. Dans le cas de lao, nous avons effectué, en parallèle, un calcul LFT et un calcul ab initio avec interaction de configurations multi-références. Les calculs ab initio ont reproduit les résultats LFT, mais ont aussi fait apparaître des états électroniques bas en énergie (doublets et quadruplets) non observés jusqu'à maintenant et non prédits par le modèle doublement ionique utilisé pour les calculs LFT.
Application of ligand field theory to diatomic molecules and critical analysis of its basis
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