Modèle standard supersymétrique minimal. Quelques aspects phénoménologiques
Auteur / Autrice : | Abdeslam Arhrib |
Direction : | Michel Capdequi-Peyranère |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Constituants élémentaires |
Date : | Soutenance en 1994 |
Etablissement(s) : | Montpellier 2 |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Il est presque certain que le modele standard minimal (msm) n'est qu'une theorie effective d'une theorie plus fondamentale qui reste a decouvrir. La supersymetrie est l'un des candidats, ne serait-ce que par sa capacite a resoudre le probleme de la hierarchie de jauge. Le generateur de cette supersymetrie transforme les bosons en fermions et vice-versa, ce qui double le nombre total de particules au menu. Pour des raisons theoriques, la brisure de la symetrie electro-faible doit etre assuree par 2 doublets de champs scalaires (au moins), c'est ainsi qu'on a le modele supersymetrique minimal (mssm). Comme tout modele contenant plusieurs doublets, ce modele contient a la fois des higgs neutres et charges. Dans le cadre du mssm nous avons etudie: 1) l'apport des corrections radiatives au parametre rho (rapport du courant neutre au courant charge a basse energie), les effets de chaque secteur: secteur scalaire, secteur des sleptons et des squarks et celui du stop-sbottom, ont ete etudie separement ; 2) la production d'une paire de higgs charges dans les processus d'annihilation d'une paire d'electron-positron a 500 gev, ceci incluant les corrections radiatives. Nous discutons de la possibilite de pouvoir separer la production d'un higgs charge du mssm de celui du modele a 2 doublets non supersymetrique et de la detection eventuelle de la supersymetrie d'autre part