Thèse de doctorat en Électrotechnique
Sous la direction de François Forest.
Soutenue en 1994
Électronique de commutation pour l'essentiel, l'électronique de puissance met en œuvre des structures de convertisseurs ou la gestion des pertes par commutation pose problème. La commutation commandée lorsqu'elle est associée à des techniques d'aide a la commutation des interrupteurs, donne de bons résultats. Dans la gamme de puissance allant jusqu'a la dizaine de kilowatts, il existe une alternative à cette solution, que l'on désigne par le terme de quasi-résonance. L'étude présentée montre comment l'introduction de la commutation douce au sein de convertisseurs classiques permet d'obtenir d'aussi bonnes performances voire même meilleures, tout en simplifiant quelque peu la topologie des structures. Sa facilite de mise en œuvre est mise en évidence. La problématique du choix des interrupteurs est abordée. Un second problème pose par l'emploi de l'électronique de puissance et par la multiplication de convertisseurs, est la pollution du réseau auquel ils sont connectes. Afin de résorber cette pollution, des convertisseurs dits à absorption sinusoïdale (c. A. S. ) font l'objet d'études en tout points du globe. Une étude bibliographique leur est consacrée et une réalisation propre au laboratoire est détaillée. Ces convertisseurs fonctionnent en commutation commandée, aussi nous sommes nous attaches à développer des structures réalisant cette fonction de c. A. S. Tout en introduisant les techniques de commutation douce. Deux structures de flyback quasi-résonants, de 500 et 1300 w sont étudiées. Chacune consomme un courant sinusoïdal présentant un taux de distorsion inferieur à 10%. Une ébauche de modélisation de l'un de ces convertisseurs est également décrite
Introduction of the quasi-resonance in medium power dc-dc converters : application to power factor correctors
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