Thèse de doctorat en Sciences biologiques et fondamentales appliquées. Psychologie
Sous la direction de JUN PEDRO WAHRAMNN.
Soutenue en 1991
à Paris 7 .
L'etude des proteines de surface des cellules musculaires de la lignee l#6 et du mutant non fusionnant ama#1#0#2, a montre que des variations qualitatives et quantitatives de proteines comprises entre 300 et 25 kda se produisent au cours du processus de differenciation terminale. Les variations les plus importantes se situent au niveau d'une p51,5 et d'une p48. L'etude des interactions membrane-cytosquelette montre que les associations entre les elements du cytosquelette et les proteines de surface varient en fonction des stades de differenciation. L'action de la cytochalasine b qui bloque la fusion des myoblastes, se traduit par une perturbation importante des interactions membrane-cytosquelette. Elle entraine entre autre le maintien de la p51,5 et la non apparition de la p48 1a a la surface des myoblastes competents. Ces resultats suggerent que les proteines membranaires sont directement impliquees dans les phenomenes precoces de la fusion. La mise au point de techniques d'analyse par electrophorese bidimensionnelle a mis en evidence des variations d'expression des proteines membranaires ainsi que des modifications post traductionnelles (glycosylation, phosphorylation) pour certaines d'entre elles
Variations of cell surface membrane proteins and their interactions with cytoskeleton, during muscle cells differenciation in vitro
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