Thèse de doctorat en Physique
Sous la direction de Geneviève Comte-Bellot.
Soutenue en 1990
à l'Ecully, Ecole centrale de Lyon , en partenariat avec Laboratoire de mécanique des fluides et acoustique (Rhône) (laboratoire) .
La prédiction des phénomènes vibratoires induits sur les structures par les écoulements turbulents suppose une bonne connaissance du champ excitateur. Dans cette étude, nous nous sommes intéressés au cas fondamental du champ pariétal de pression induit par une couche limite turbulente pleinement développée. Les trois techniques expérimentales d'estimation du spectre en fréquence-nombre d'onde de ce champ de pression sont exprimées et comparées sous forme de fonctions de transfert. Ces fonctions sont caractéristiques du filtrage spatiotemporel propre à chaque méthode. Ensuite chacune de ces techniques est mise en œuvre et exploitée pour différentes situations concrètes. Ces investigations expérimentales ont été conduites dans une veine d'essais de la soufflerie anechoïde de l'Ecole centrale de Lyon. Les résultats obtenus permettent une confrontation avec les modèles existants et révèlent certains comportements des spectres des champs pariétaux de pression dans la région des petits nombres d'onde.
Low wavenumber contributions to wall pressure fields beneath two-dimensional turbulent boundary layers. A comparison between three different experimental methods
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