Thèse de doctorat en Zoologie
Sous la direction de Charles Noirot.
Soutenue en 1987
à Dijon .
Des applications exogènes d'hormones juvéniles (JHs) ou de leurs analogues, des biotests et des radioimunodosages (RIA) indiquent que des hormones du type des JHs sont présentes chez les tiques et jouent un rôle dans le contrôle du cycle gonotrophique. L'étude par GC/MS de nombreux échantillons montre que ces hormones ne correspondent pas à celles décrites chez les insectes ou les crustacès (JH0, JH1, JH2, JH3 ou FME). Des inhibiteurs de biosynthèse des JHs peuvent toutefois réduire le rendement de ponte, voire même inhiber l'oviposition. L'étude du métabolisme des JHs par les tiques montre que ces animaux possèdent des estérases et des époxyde-hydrolases consduisant à des métabolites décrits chez les insectes, les JHs-acide-diol. Ceux-ci sont ensuite convertis en produits beaucoup plus polaires [. . . ].
Endocrinological aspects of the physiology of tick development and reproduction
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