Thèse de doctorat en Physique atomique et moléculaire
Sous la direction de Directeur de thèse inconnu.
Soutenue en 1985
à Paris 11 , en partenariat avec Université de Paris-Sud. Faculté des sciences d'Orsay (Essonne) (autre partenaire) .
Le président du jury était Jacques Bauche.
Le jury était composé de Directeur de thèse inconnu, Jacques Bauche, Guy Taieb, Gérard Dorthe, Henri Brunet, Lucien Torchin.
Cette thèse présente une étude de la dynamique de la réaction C + N₂O → CN + NO réalisée dans des écoulements subsoniques ou supersoniques. Les spectres de chimiluminescence de CN (A² πi ) ont mis en évidence l’importance des couches limites. Leurs analyses ont permis de donner la distribution vibrationnelle dans différentes conditions expérimentales. La fluorescence induite par laser a été utilisée pour déterminer les distributions vibrationnelles et rotationnelles de CN(X² Σ⁺) et pour estimer la pression partielle de radicaux formés dans la réaction. En supposant les niveaux vibrationnels (X² Σ⁺, v’’ ≥ 4) et (A²πi, v’ ≥ 2) thermalisés, nous avons déduit une valeur du branchement électronique de la réaction. Enfin la possibilité de réaliser un laser chimique fonctionnant sur une transition rovibronique de CN a été discutée.
Production of CN radicals from the reaction C + N₂O : rovibronic distribution analysis and saturation spectroscopy
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