Contribution à l'étude de la fertilité du pollen de Mil (Pennisetum typhoides (Burm. ) Stapf et Hubb. )
| Auteur / Autrice : | Brad Fraleigh |
| Direction : | Directeur de thèse inconnu |
| Type : | Thèse de doctorat |
| Discipline(s) : | Sciences biologiques |
| Date : | Soutenance en 1985 |
| Etablissement(s) : | Paris 11 |
| Partenaire(s) de recherche : | Autre partenaire : Université de Paris-Sud. Faculté des sciences d'Orsay (Essonne) |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
La fertilité du pollen de mil (Pennisetum typhoïdes) a été étudiée à l’état frais et après conservation. Plusieurs tests de fertilité ont été utilisés : le colorant d’ALEXANDER, la coloration au diacétate de fluorescéine, la germination in vivo et le taux de grenaison. A l’exception du premier, les corrélations entre les tests pris deux à deux sont positives et très hautement significatives. Le pollen de mil reste fertile environ 12 jours en conditions ambiantes. De nombreux échantillons ont été stockés à 3-5°C et 26-30%, 52-56% ou 70-75% d’humidité relative. En stockage, la fertilité du pollen peut persister pendant plus d’un an au mieux. La fertilité du pollen peut persister pendant plus d’un an au mieux. La fertilité pollinique est influencée par le génotype et les conditions de croissance de la plante émettrice du pollen, par la méthode de récolte, et par l’hygrométrie de stockage. Les mécanismes de la mort du pollen ont été étudiés d’après les courbes de mortalité pollinique et comparaisons entre les résultats de différents tests de fertilité. L’utilité de la conservation de la fertilité du pollen pour l’amélioration des plantes et pour la gestion des ressources génétiques est discutée.